Enseignant en anglais depuis 1995, Thomas Grison est par ailleurs percussionniste, photographe amateur et auteur. Il a signé sous son nom un certain nombre d’ouvrages de poésie, ainsi que des essais ayant trait à l’histoire des représentations et des symboles. Sont ainsi parus Le tombeau des ducs de Bretagne et son symbolisme (Rafael de Surtis, 2016), Le Symbolisme du miroir (MdV, 2019), Le Symbolisme de l’épée (MdV, 2018), Le Symbolisme de la grenade (MdV, 2023) et Le Symbolisme de l’abeille (MdV, 2019).

En 2019, fort de cette expérience éditoriale qui le poussait de plus en plus vers l’histoire de l’art, il a obtenu un Master 2 à l’Université de Nantes (Histoire de l’Art et Culture Matérielle), portant sur la figure de Saint Christophe dans l’iconographie des anciens Pays-Bas. Depuis plusieurs années, il accompagne des groupes in situ sur des thématiques diverses : collections flamandes et hollandaises du musée d’arts de Nantes, collection permanente et exposition Vermeer au Rijksmuseum d’Amsterdam, tombeau des ducs des Bretagne dans la cathédrale de Nantes, Tenture de l’Apocalypse du château d’Angers.

En juin 2023, Thomas a rejoint l’équipe d’Artaban, qui lui a donné l’opportunité de partager, avec un public, non seulement son goût pour la peinture hollandaise et flamande (15^e – 17^e siècles) ou son intérêt pour tout ce qui touche à l’histoire des symboles, mais également, dans un souci d’éclectisme qui lui ressemble bien au fond, un ensemble de sujets divers allant de la représentation des Amérindiens dans la peinture américaine à l’iconographie du baiser, en passant par Norman Rockwell, les insectes et leur valeur symbolique dans l’iconographie, ou encore la Tenture de l’Apocalypse.

Engagé en franc-maçonnerie, Thomas Grison est aussi membre du CERAL qui gère les Salons nantais du Livre Maçonnique.